Guerres de religion en France

Quelques points qui m'intéressent sur ces évènements, parce qu'ils peuvent potentiellement tomber dés le prochain tour.

Il est dit qu'on peut imposer une paix inconditionnelle au mineur si on lui croute complètement la gueule, et que le prochain évènement sera automatiquement la guerre de succession (III-D (4) ). De même si le souverain français meurt. Si cela ce produit à la fin du premier évènement (ou même pendant), cela veut dire qu'on ne pourra plus tirer les évènements 2 et 3, et que celui qui sera tiré sera le dernier ? Ou alors cela veut juste dire que les évènements vont dans n'importe quel ordre ? (Le premier cas est le plus logique, typiquement je vois mal la ligue avoir un "raise and fall" alors que le successeur a déjà été désigné.)
Dans le cas de l'inconditionnelle il est précisé que le III-D (4) sera le dernière évènement. (mais avec une mention "Event Français conciliant" qui je ne comprends pas. C'est le dernier s'il est conciliant et sinon on jouera le (5), ou alors on jouera aussi les précédents ?)

Il est dit que lors du premier évènement on peut déclencher la Saint Barthélémy volontairement. Est-ce que dans ce cas précis, on considère que c'est la continuation de la guerre et que les généraux des autres camps sont juste massacrés et on applique les effets "Tour 2", ou alors on considère que l'action se passe comme s'il y avait eu une paix et qu'on résout tous les évènements "(Politic crisis) (Enomic crisis) (Uprisings in France) et (Military Troubles)" à nouveau ?

Je penche plus pour la 2ème solution personnellement, la première étant beaucoup trop forte pour la France : Sur la première guerre, bien qu'il ai des renforts, il est possible de crouter tout assez rapidement, déclencher la Saint Barthélémy, et n'avoir aucune révolte, avec une province et des conscrits lig/hug dedans pour lui imposer l'inconditionnelle. Bon, j'avoue que c'est une idée qui me plait et qui est assez logique : si le Français à éclaté complètement le protestant/catholique, et qu'il déclenche la Saint Barthélémy pour massacrer ceux qui restent et en finir avec eux, c'est moche mais c'est pas illogique. Bon, l'inverse est aussi logique : à se faire massacrer, les pouilleux se révoltent en masse et on reprend l'évent du début, mais je préfère demander.


Question bonus : REB gagne 30pvs s'il change la religion de la France. Si c'est l'Espagne, ça compte réellement pour son objectif ? C'est pas vraiment lui qui retourne la France, c'est la ligue. Du coup, ça lui fait 80 pvs. C'est juste une question pour emmerder l'Espagne ça.

De mémoire...

Au premier event, le niveau de paix est limité. Donc tu ne peux pas zapper 2 et 3 avec une inconditionnelle, juste 3.

Par contre avec la mort prématurée du roi (et une crise dynastique), ça doit être possible.

5 est toujours jouable si tu n'es pas conciliant.

St Barthélémy déclenche 2 donc on refait tout le processus.

Oui, HIS gagne 30PV en plus de son objectif si il retourne une FRA protestante.

Ok, donc effectivement aucun intérêt à continuer la guerre plus d'un tour si on peut l'arrêter, vu qu'on peut déclencher la saint Barthélémy en paix. Et puis ça m'a paru bourrin quand même.

Nouvelles questions :

Les seules conditions de paix qui ne sont pas acceptables sont : lui prendre du fric. Je peux donc prendre des provinces au mineur à la paix ? Si oui, comment se gère le cas de Paris ? Je peux lui prendre ? Un Français conciliant/contre réforme peut annexer complètement le mineur HUG sur plusieurs guerres donc ?

J'avais une autre question mais je viens de la zapper.

Oui, tu peux bouffer des provinces au mineur (et réciproquement).

Ceci dit, la première condition de paix doit toujours concerner une place de sûreté (établissement ou démantèlement, même si il n'y en a pas encore officiellement), donc il faut au moins la paix de niveau 2 pour bouffer une province et tu peux pas en faire plus de 2 par guerre...

En outre, bouffer des provinces au mineur ne le détruit pas (ben non, c'est purement un artefact de jeu ces mineurs) ni ne supprime les révoltes initiales de chaque guerre qui spawnent dedans. Par contre, ça empêche le spawn de révoltes pendant les rounds et ça permet de toucher des sous.

Mais du coup, à terme, c'est plus simple de lui imposer l'inconditionnelle (il y a moins de provinces à reprendre, donc quand il n'en a plus que 2, ça fait que 2 à prendre !), et prendre Paris pousse le ligueur à reprendre Paris pour faire son coup, ça met le Français non contre-réforme dans une position moins délicate si le tour de guerre de succession est court, typiquement, même s'il a plein de révoltes à mater.

Et il y a évidemment les sous. C'est pas des provinces russes à 2 ducats, ça joue clairement.

Ah, j'ai retrouvé ma question :

Quand une paix est signée, il arrive quoi aux révoltes, elles sont retirées ? (ce qui dans l'absolu n'est pas illogique, elles ne se comportent pas comme des révoltes normales de base.)

(toujours de mémoire)

Comme il y a toujours une révolte + Lig à Paris (quand Lig se révolte), Lig prend le contrôle de Paris à chaque révolte...
En plus ça risque d'être bien fortifié et défendu donc dur à prendre et à annexer (ce qui ni peut être fait qu'à partir de la deuxième guerre).

Les révoltes disparaissent bien à la paix. Du moins il me semble.

Au hasard, ce n'est pas juste le fait que ce soit une capitale et que le Français n'est ni Turc, ni Russe ?

Localement bof. Il est quand même en train de se taper sur lui-même et d'annexer ces propres provinces. Les deux mineurs sont un pur artefact de jeu. Il n'y a pas eu de vraie tentation sécessioniste ni d'un côté ni de l'autre. L'annexion dans ces guerre représente les luttes d'influences des différentes factions pour le contrôle politique, économique et religieux des provinces et je vois pas trop de raisons d'interdire au roi de reprendre le contrôle de Paris (ce que les Valois ont largement tenté...)